De jeunes physiciens se sont réunis à Stellenbosch, en Afrique du Sud, pour participer à la première African School of Physics.
« Au CERN, la physique est une aventure mondiale. Pourtant, peu de scientifiques africains y participent », explique Christine Darve, organisatrice de l’École et ingénieure spécialiste des accélérateurs au Laboratoire Fermi. Sur les 51 chercheurs africains qui travaillent actuellement au CERN, 18 seulement ont été formés en Afrique. « Les pays d’Afrique subsaharienne sont sous-représentés dans les collaborations du CERN », confirme John Ellis, conseiller pour les relations avec les États non-membres. « Cette école d’un genre nouveau aura notamment pour objectifs de renforcer les collaborations existantes, de consolider celles qui sont en train de se nouer et peut-être d’en établir de nouvelles ».
Le programme de l’École est centré sur trois thèmes principaux : la physique subatomique théorique ; la physique subatomique expérimentale ; les accélérateurs et la technologie.
Source: CERN
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